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  • | Crée le 19.01.2017 à 11h38 | Mis à jour le 19.01.2017 à 11h41
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    On vous en avait parlé en septembre dernier. La Polynésie pourrait accueillir la première cité flottante au monde dans le lagon de Raiatea, de Tupai ou dans la baie de Phaëton, à Tahiti.

    Il s'agirait d'îles artificielles composées de plateformes flottantes modulaires, bardées de technologies dernier cri, ancrées sur les fonds marins, et sur lesquelles peuvent être implantées soit des constructions résidentielles ou commerciales, soit des activités aquacoles, ou encore des instituts de recherche. Ces communautés flottantes fabriqueront leur énergie et traiteront leurs déchets.

    Une nouvelle étape a été franchie dans la réalisation de ce projet avec la signature le 13 janvier, à San Francisco, d'un mémorandum d'accord entre la société Seasteading Institute et le gouvernement de la Polynésie française.

    Randolph Hencken, directeur exécutif du Seasteading Institute, et le ministre Jean-Christophe Bouissou, représentant la Polynésie française, lors de la signature du protocole d’accord portant sur un projet innovant d’île flottante. (photo Présidence de la Polynésie française)

     

    Randolph Hencken, le directeur exécutif de l'institut a déclaré à Radio Australia que « les prochaines étapes impliquaient des études d'impact économique et environnemental ainsi que des enquêtes juridiques pour déterminer le cadre de gouvernance spécial ». M. Hencken a ajouté que « le détail de l'autonomie politique devait être négocié et considéré sous la souveraineté de la Polynésie française et de la France, dont la Polynésie française est un territoire ».

    Si le René Bidal, le haut-commissaire en Polynésie française, « accompagne le projet du pays d'expérimenter […] ce projet […] », il a néanmoins précisé, à nos confrères de TNTV, qu'il » distingue ce projet d'investissement économique de la souveraineté ». « Le seul Etat souverain que je connaisse en Polynésie, c'est la République français », a-t-il ajouté, mardi, lors de ses vœux à la presse.

    Le haut-commaissaire de la Polynésie française, René Bidal. (capture d'écran TNTV) 

     

    Sauf retard dans le projet, les travaux pourraient débuter en 2019.

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