fbpx
  • | Crée le 20.10.2017 à 19h46 | Mis à jour le 20.10.2017 à 19h51
    Imprimer
    Après l'incendie, les environs de la tribu de Bangou avaient des airs de paysage lunaire. Anthony Tejero

    Les collines et la végétation ont laissé place à un paysage de désolation, aux abords de la tribu de Bangou, à la suite du violent incendie qui s'est déclaré jeudi et qui a déjà détruit 1600 hectares. Ce vendredi matin, les habitants ont découvert l'ampleur des dégats consécutifs à une journée infernale.

    Sur l'une des hauteurs de la tribu, particulièrement touchée, les pompiers n'ont pu être partout. Une habitation a ainsi dû être sacrifiée et est partie en fumée. « En soixante-dix ans, je n'avais jamais vu ça. Le bruit du feu, c'était comme le bruit d'un avion qui décolle, raconte Callixte Marengo, dans les décombres de ce qui était encore la maison de son neuveu, deux jours auparavant. Il ne faut pas que ça se reproduise, il ne faut pas attendre qu'il y ait des morts ! C'est vraiment triste et énervant quand on sait que ce sont des actes volontaires. »

    La piste de l'incendie intentionnel est également privilégiée par la mairie, qui en appelle « à la responsabilité de chacun » afin de communiquer à la gendarmerie toute information susceptible de faire avancer l'enquête. « Ces gens-là sont des criminels. (...) Le seul moyen dont on dispose pour sortir de la bêtise humaine, c'est la répression », martèle le premier adjoint Willy Gatuhau. 

    Plus d'informations à lire dans votre édition de demain, samedi 21 octobre, dans la rubrique Grand Nouméa

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • DANS LA MÊME RUBRIQUE
  • VOS RÉACTIONS