L'information avait été annoncée comme exclusive par l'agence de presse Reuters et a été reprise par de nombreux médias, parmi lesquels L'Usine nouvelle, un titre spécialisé dans l'industrie… mais elle est tout simplement erronée.

Sur la base de « deux personnes connaissant le dossier », l'agence Reuters a indiqué, lundi 20 novembre, que l'industriel brésilien « avait décidé de reporter la vente d'une participation dans sa mine de nickel de Nouvelle-Calédonie après que les offres initiales [se sont situées] à la limite inférieure des attentes ». « La vente pourrait être retardée d'une année, poursuit l'agence de presse, car la société basée à Rio de Janeiro anticipe un rebond des prix du nickel, ont indiqué les sources, qui ont requis l'anonymat car elles n'étaient pas autorisées à évoquer publiquement le dossier. »

Dans un communiqué de presse, la maison-mère, située à Rio de Janeiro, « précise qu'il n'y a pas de décision de reporter la vente d'une participation dans sa mine de nickel Vale New Caledonia (VNC) et que le processus de recherche d'un nouveau partenaire est en cours. La recherche d'un partenaire dans VNC renforce la stratégie de Vale visant à générer de la valeur à partir de tous ses actifs et son engagement à préserver la solidité financière », conclut Vale S.A.

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