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  • P. Ch. | Crée le 13.11.2019 à 16h31 | Mis à jour le 18.12.2019 à 15h18
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    Harold Martin lors de l'une des suspensions de l'audience, hier mardi, au palais de justice de Nouméa. A droite, Me Jean-Yves Le Borgne, conseil de Jean-Marc Bruel. Photo P. Ch.

    Le second procès en appel des conditions d'attribution de la défiscalisation de la 3G s'est achevé ce mercredi après-midi. La cour d'appel rendra son arrêt le 17 décembre prochain.

    Cette deuxième journée a été consacrée aux plaidoiries de la défense, où pas moins de six avocats se sont succédé, dont le ténor parisien à la voix de stentor, Me Jean-Yves Le Borgne, conseil du défiscalisateur.

    Comme le veut la procédure, les prévenus ont eu la parole en dernier. Thierry Granier, qualifié la veille par l'avocat général de « Richard Virenque » du dossier, a saisi la balle au rebond. « Richard Virenque a avoué dix ans plus tard qu'il avait triché. Ce n'est pas mon cas. Je n'ai jamais triché. J'ai été requis pour une expertise, j'ai exercé mon jugement professionnel comme je l'aurais fait pour n'importe quel autre dossier ».

    Le défiscalisateur n'a pas souhaité faire de remarques. Harold Martin a quant à lui indiqué qu'il avait évolué par rapport aux débuts de l'affaire, en 2011. « A cette époque, cette affaire m'a semblé être un règlement de comptes entre juges et hommes politiques. Je ne vois plus les choses de cette manière. »

    Compte rendu d'audience à retrouver dans votre journal de demain jeudi, en pages Pays.

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