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  • © 2016 AFP | Crée le 02.09.2016 à 19h52 | Mis à jour le 02.09.2016 à 20h00
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    Le secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert lors d'une séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale le 29 juin 2016

    La baisse d'impôts pour les ménages en 2017 sera annoncée "la semaine prochaine", a indiqué vendredi le secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert.

    Cette baisse de prélèvements sera annoncée par le président de la République François Hollande à son retour du sommet du G20 en Chine ou par le Premier ministre Manuel Valls "la semaine prochaine", a déclaré M. Eckert à l'antenne de la radio RTL.

    De son côté le ministre de l'Economie et des Finances Michel Sapin a indiqué vendredi que cette baisse d'impôts devrait être inférieure aux 2 milliards d'euros espérés.

    "La marge n'est pas la même, cessons de parler de 2 milliards, nous sommes en train de regarder à l'intérieur des données actuelles quelles sont les marges", a expliqué M. Sapin sur Radio Classique/Paris Première.

    L'ampleur de la diminution d'impôts jusqu'à présent évoquée tournait autour de 2 milliards d'euros si la croissance avait été cette année supérieure à 1,5% du Produit intérieur brut (PIB).

    Le gouvernement a récemment revu à 1,5% contre 1,6% précédemment ses prévisions de croissance pour l'année en cours, après l'annonce d'un coup d'arrêt au deuxième trimestre (+0,0%) qui faisait suite à un très bon début d'année (+0,7% au premier trimestre).

    A l'origine de ce résultat décevant, un ralentissement de la consommation des ménages, une baisse des investissements et un recul de la production affectée par les mouvements sociaux contre la loi travail.

    L'Insee prévoit un rebond sur les deux autres trimestres de 2016 (+0,3% et +0,4%). Entretemps toutefois l'attentat de Nice et le référendum sur le Brexit ont ajouté des incertitudes.

    Pour l'heure, l'acquis de croissance -- autrement dit la progression annuelle du PIB en cas de croissance nulle sur les deux derniers trimestres -- s'établit à 1,1%, selon l'Insee.

    "Le Président l'a dit au printemps car c'était un moment où on pouvait prévoir plus de croissance. Tout le monde est d'accord pour dire aujourd'hui qu'il ne serait pas raisonnable de construire un budget sur une perspective de croissance supérieure à 1,5%", a expliqué M. Sapin.

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