La Russie n'est pas prête à accepter les conclusions du rapport d'enquête de l'ONU remis la semaine passée, qui accusent son allié syrien d'avoir mené des attaques chimiques au gaz de chlore, a déclaré mardi son ambassadeur.
Les enquêteurs ont trouvé "l'arme du crime", a-t-il expliqué. "Mais il n'y a pas d'empreintes sur l'arme", a affirmé Vitali Tchourkine à des journalistes. "Il y encore des questions" non résolues, a-t-il estimé.