Les émissions de gaz à effet de serre (GES) issues des énergies fossiles ont été stables pour la 3e année consécutive, un progrès inédit mais insuffisant pour contenir le réchauffement, souligne une étude parue lundi en marge de la conférence climat de l'ONU.
Cette "rupture claire" par rapport à la poussée des émissions constatée la décennie précédente, a été permise par la Chine, premier émetteur mondial, qui a réduit son recours au charbon, souligne le Global Carbon Project dans son 11e bilan annuel réalisé par des scientifiques du monde entier.