
La Commission européenne a accusé mardi Facebook de lui avoir fourni "des informations trompeuses" lors de l'enquête menée en 2014 sur le rachat du service de messagerie WhatsApp et pourrait lui infliger une amende.
Facebook avait alors assuré "qu'elle ne serait pas en mesure d'associer automatiquement (...) les comptes d'utilisateur des deux sociétés", ce qu'elle a fini par faire en août 2016, explique la Commission. L'ouverture de cette nouvelle enquête n'aura "pas d'incidence" sur le feu vert accordé à l'opération en 2014, a-t-elle cependant précisé.