
Le Kremlin a dénoncé jeudi comme "inadmissible" la décision de la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) qui a estimé que Moscou avait fait preuve de "graves défaillances" dans le traitement de la prise d'otages de Beslan en 2004.
"Nous ne pouvons pas être d'accord avec une telle formulation. (...) Pour un pays qui a été attaqué, ces formulations sont absolument inadmissibles", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.