Un des temps forts de la première journée calédonienne d’Edouard Philippe aura été la réunion des groupes de travail du Comité des signataires.
Le Premier ministre a réaffirmé la volonté de l’Etat de s’engager pleinement, et pas seulement comme arbitre ou garant, dans la poursuite du processus de l’Accord de Nouméa. Il a souhaité que les partis politiques locaux s’engagent plus dans un dialogue pour déterminer « les spécificités et les points d’accord » des uns et des autres sur ce qu’est la Calédonie.
Edouard Philippe a également demandé au Congrès de définir lui-même la ou les questions du référendum. Il a enfin annoncé la tenue d’un Comité des signataires lors de la première quinzaine de mars 2018.
Lire aussi : « La consultation n’est pas un référendum pour effacer le passé » [1]