Fort d’une attribution du Mondial 2026 sans esclandres ni scandales : à un an de l’élection de la présidence de la Fédération internationale de football (Fifa), en juin 2019 à Paris, tous les voyants semblent au vert pour Gianni Infantino, qui a annoncé hier sa candidature. S’il est conscient que ce chemin sera « semé d’embûches », le juriste italo-suisse de 48 ans a profité de la tribune du congrès de la Fifa, hier, pour vanter son premier mandat. « Le 26 février 2016, le jour de l’élection, la Fifa était une organisation cliniquement morte. Aujourd’hui, la Fifa est une organisation vivante, pleine de joie, de passion, avec une vision pour un avenir », a-t-il déclaré dans son discours inaugural, réalisé en quatre langues : français, allemand, anglais, espagnol.