
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a indiqué vendredi n'avoir pas trouvé de preuve de l'usage de gaz innervant lors de l'attaque commise dans la ville syrienne de Douma en avril, mais des traces de produits chlorés.
"Les résultats montrent qu'aucun agent innervant organophosphoré, ou leurs résidus, n'ont été détectés", indique l'organisation dans un rapport préliminaire. "En plus des résidus d'explosifs, différents composés chlorés ont été trouvés", a-t-elle cependant ajouté.