
L'émissaire de l'ONU en Libye, Ghassan Salamé, a déclaré à l'AFP qu'il était difficile de tenir des élections le 10 décembre comme prévu par le calendrier adopté à Paris, en raison des violences et des retards dans le processus législatif.
"Il y a encore énormément à faire. Il se peut qu'on ne puisse pas respecter la date du 10 décembre", a dit M. Salamé dans un entretien samedi soir avec l'AFP, estimant qu'un scrutin ne pourrait se tenir avant "trois à quatre mois".