Les gendarmes ont dispersé lundi à Moroni, avec des lacrymogènes, plus d’une centaine de partisans de l’opposition qui manifestaient au lendemain de l'élection présidentielle entachée de nombreuses fraudes selon l'opposition et la société civile, a constaté un journaliste de l'AFP.
Dimanche, avant même la clôture du vote, les douze candidats opposés au président sortant Azali Assoumani, candidat à sa propre réélection, avaient dénoncé "la mascarade de ces élections" et appelé "le peuple à la "résistance".