L’attaque de requin d’un enfant de 10 ans port du Sud a ému l’opinion publique. Depuis, les personnes qui vivent sur des bateaux dans les zones de mouillage sont montrées du doigt. Une stigmatisation à laquelle elles répondent, dans votre édition de demain, jeudi 20 juin, dans les pages Nouméa [1].
« On ne comprend pas pourquoi on nous jette la pierre alors que nous sommes les premiers à être sensibilisés », explique Anne-Claire, sur la question de la gestion des déchets ménagers.
Les plaisanciers admettent que leur mode de vie a un impact sur l'environnement, mais ils ne souhaitent pas endosser, seuls, toute la responsabilité quant à la présence de squales en petite rade.
Car les rejets sont multiples dans cette zone.
À commencer par ceux produits par les activités commerciales, ou encore par la vie à bord des autres plaisanciers, ceux qui sont dans les différents ports de la ville.