La cour d'assises de Palerme, en Sicile, a reconnu vendredi une erreur d'identité dans l'affaire d'un Erythréen accusé d'avoir dirigé un vaste réseau de trafiquants de migrants.
Arrêté au Soudan au printemps 2016, l'accusé a toujours affirmé n'avoir qu'un prénom en commun avec le chef de réseau recherché. La cour l'a cependant condamné pour aide à l'immigration clandestine mais a ordonné sa libération immédiate, la détention préventive couvrant sa peine.