Le président élu argentin, Alberto Fernandez, a qualifié dimanche de "coup d'Etat" la situation qui a conduit à la démission du président bolivien Evo Morales, dans un message sur Twitter.
"En Bolivie a eu lieu un coup d'Etat produit par l'action conjointe de civils violents, du personnel policier qui s'est démobilisé et de la passivité de l'armée. C'est un coup perpétré contre le président @evoespueblo, qui avait convoqué un nouveau processus électoral", a écrit M. Fernandez, un péroniste de centre-gauche qui entrera dans ses fonctions de président le 10 décembre.