Le gouvernement par intérim de Bolivie a accusé vendredi l'ex-président Evo Morales, en exil au Mexique, de "sédition et de terrorisme", pour avoir incité ses partisans à mettre en place des blocages autour de La Paz dans un enregistrement diffusé par les autorités.
"Nous demandons la peine maximale pour sédition et terrorisme", a déclaré le ministre de l'Intérieur Arturo Murillo à des médias à la sortie du parquet.