L'Argentine "a la volonté de payer" sa dette externe, mais n'a pas "les moyens de le faire", a prévenu le nouveau président de centre gauche Alberto Fernandez, en appelant le FMI à développer une relation "constructive", mardi lors de son discours d'investiture.
Selon M. Fernandez, le précédent gouvernement du libéral Mauricio Macri "a laissé le pays dans une situation de défaut virtuel", avec une dette publique totale de 315 milliards de dollars, soit près de 100% du PIB.