Le chef du puissant mouvement chiite libanais Hezbollah, allié d'Iran, a affirmé vendredi que toute éventuelle aide du FMI au Liban, en proie à une crise financière aiguë, devrait être assortie de "conditions raisonnables", loin de toute velléité de "tutelle" étrangère.
"Toute aide sous des conditions raisonnables (...) ne pose aucun problème de principe", a affirmé Hassan Nasrallah dans un discours retransmis par la chaîne du parti al-Manar, soulignant toutefois son refus de toute "mise sous tutelle" du pays, désormais en défaut de paiement pour la première fois dans son histoire.