L’Institut d’émission d’outre-mer a présenté ce vendredi matin une étude comparative des « trajectoires de croissance » respectives de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française. Si la seconde connaît une évolution plus favorable depuis 2014, les comparaisons doivent s’appuyer sur une analyse de longue période, insiste l'IEOM.
« Les économies polynésienne et calédonienne sont toutes deux sensibles aux chocs venus de l’extérieur, dans leur secteurs de spécialité, que ce soit le tourisme ou le nickel », a souligné Magali Ardoino, responsable du services des études de l’IEOM.
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