Prenez le Parti travailliste, le MNIS, des personnes issues de la société civile et du monde syndical, et vous obtenez le MNSK, mouvement Nationaliste et Souverainiste Kanak, dui se lance dans la campagne pour le « Oui » à la pleine souveraineté.
Mais un « Oui » très différent de celui prôné par le FLNKS, accusé d’avoir depuis 30 ans favorisé la bipolarisation de la Nouvelle-Calédonie.
Dans l’esprit du MNSK, le mot Kanak n’incarne pas une ethnie, mais un ensemble de valeurs, celles du peuple premier autour desquelles doivent s’agréger les victimes de l’histoire et les autres communautés.