Le président bélarusse Alexandre Loukachenko a estimé mardi que si son régime tombait, la Russie suivrait, après un mois d'une contestation de sa réélection sans précédent qu'il estime soutenue par l'Occident.
"Vous savez, ce qu'on a conclu avec l'establishment et les autorités russes ? Si le Bélarus tombe, la prochaine sera la Russie", a-t-il assuré, cité par l'agence Ria Novosti après un entretien accordé à plusieurs médias russes, estimant que sans lui "tout le système s'écroulera, suivi de tout le Bélarus".