
Le Kremlin a jugé vendredi que les sanctions décidées par l'UE contre le Bélarus du fait de la répression de la contestation étaient une "preuve de faiblesse" de la part des Européens.
"Vous savez que nous considérons comme mauvaise la politique de sanctions d'une manière générale. Dans tous les cas, c'est plus une preuve de faiblesse que de force", a affirmé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, tout en jugeant "positif" que le président bélarusse Alexandre Loukachenko ne soit pas personnellement visé par les mesures européennes.