« Le Palika a été créé pour amener le pays à l'indépendance » a rappelé ce samedi soir Charles Washetine, coporte-parole du parti, au sortir de son assemblée générale tenue à Nouméa. « Nous sommes partis pour un troisième référendum. Nous sommes optimistes ». La raison ? « La progression des voix est du côté de chez nous. Cette évolution légitime le combat politique ». Le Parti de libération kanak avance un calcul : parmi les 11 334 suffrages supplémentaires engrangés au deuxième référendum, « 3 000 voix ne sont pas des ressortissants du monde kanak. Il y a des convergences objectives d'intérêt dans le combat pour sortir de ce système ». Selon Charles Washetine, vu le score, « il faut aller encore au contact des forces vives », c'est-à-dire « il faut aller présenter le projet à ceux qui aujourd'hui ne sont peut-être pas convaincus et aux autres communautés ». Plus de détails dans votre édition de lundi en pages Pays.