L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a demandé des éclaircissements à l'Iran, jugeant "non crédibles techniquement" les informations fournies sur un site suspect, selon un rapport consulté mercredi par l'AFP à Vienne.
Téhéran continue par ailleurs d'accumuler de l'uranium suite au retrait américain de l'accord signé en 2015 dans la capitale autrichienne: la quantité d'uranium faiblement enrichi dépasse désormais de 12 fois la limite autorisée.