La chercheuse australo-britannique Kylie Moore-Gilbert, libérée de prison mercredi par l'Iran après avoir été échangée contre trois Iraniens, a salué la fin d'une "épreuve longue et traumatisante".
Dans un communiqué diffusé par le ministère australien des Affaires étrangères, elle a indiqué que le soutien qu'elle a reçu en détention "était ce qui comptait le plus pour" elle.