La Chine, avec laquelle l'Union européenne a scellé mercredi un accord "de principe" sur les investissements, s'est engagée à "oeuvrer à la ratification" des conventions internationales sur le travail forcé, a annoncé l'UE dans un communiqué à l'issue d'une vidéoconférence entre les dirigeants européens et chinois.
Cette question est au coeur des critiques des détracteurs de l'accord, par lequel Pékin s'est aussi engagé à assurer "un accès sans précédent" des investisseurs européens à son gigantesque marché, selon ce communiqué.