"C'est le premier jugement qui demande des comptes aux responsables de la torture en Syrie", a souligné dans un tweet Heiko Maas, évoquant aussi "la signification symbolique élevée" pour les Syriens de la condamnation par la justice allemande à quatre ans et demi de prison d'un ancien agent du renseignement pour complicité de crimes contre l'humanité.