Le doute est dorénavant levé. À la suite d’une suspicion d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), communément baptisée grippe aviaire, le gouvernement avait placé une exploitation de volailles sous surveillance sanitaire mardi 9 mars.
Hier, lundi 15 mars, les autorités ont annoncé que le virus n’était pas présent au sein de l’élevage. "Les investigations menées par le Service d’inspection vétérinaire, alimentaire et phytosanitaire (Sivap) de la direction des Affaires vétérinaires, alimentaires et rurales (DAVAR) au sein de l’exploitation ont permis, à ce jour, d’exclure la présence du virus. Il n’y a donc pas de grippe aviaire détectée au sein de l’élevage, telle que celle qui sévit en Métropole et au niveau international", écrit le gouvernement dans un communiqué.
Cependant, des analyses complémentaires sont toujours en cours "afin de s’assurer de l’absence du virus de l’influenza aviaire faiblement pathogène". Si ce dernier est "inoffensif pour les volailles et l’humain", la présence de certaines souches pourrait "entraîner la prise de mesures sanitaires complémentaires".
"La consommation de produits à base de volaille ne présente donc aucun risque", assure également le gouvernement.