Deux mouvements politiques basés à l'étranger, l'un séparatiste kabyle et l'autre islamo-conservateur, ont été inscrits mardi sur la liste des "organisations terroristes" par le Haut conseil de sécurité algérien, a annoncé la présidence dans un communiqué.
Cette décision, qui était attendue, vise le Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK, indépendantiste), interdit en Algérie, et le mouvement Rachad, qui n'a pas d'existence légale en Algérie.