
"La décision de Facebook est une insulte" aux "75 millions de personnes qui ont voté pour nous en 2020", a affirmé l'ex-président dans un communiqué, ajoutant que le géant des réseaux sociaux "ne devrait pas être autorisé à s'en tirer avec cette censure et ce muselage".
"A la fin, nous allons gagner. Notre pays ne peut plus supporter ces abus!", a-t-il conclu.