Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé mercredi des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis contre 11 jeunes gens jugés pour avoir participé au cyberharcèlement de Mila, une adolescente cible d'une avalanche de menaces de mort après avoir publié une vidéo polémique sur l'islam.
Un autre prévenu a bénéficié d'un vice de procédure et un dernier a été relaxé faute de preuves, dans cette affaire qui suscite un débat passionné en France autour du droit de blasphémer.