
L'enquête pour "espionnage" avait été ouverte fin juin 2020 après la publication d'un rapport d'Amnesty International affirmant que le téléphone de M. Radi avait été piraté via le logiciel Pegasus de la firme israélienne NSO. Celle-ci est mise en cause dans une nouvelle enquête d'un consortium de médias internationaux qui a fait état d'une liste de personnalités potentiellement ciblées par le logiciel sur laquelle figure le nom de M. Radi.