La Chine a nié mardi la responsabilité de l'attaque qui avait ciblé des serveurs de Microsoft, son ambassade en Nouvelle-Zélande jugeant "sans fondement et irresponsables" les accusations en ce sens lancées lundi par Washington et ses alliés.
Après que Wellington eut joint sa voix au concert de critiques formulées contre Pékin par plusieurs capitales occidentales, l'ambassade de Chine s'en est pris spécifiquement à la Nouvelle-Zélande en fustigeant un acte de "calomnie malveillante".