
Ceux qui ont apporté une bouteille d’eau et un chapeau ne le regrettent pas. Vers 10 heures, une longue file serpentait autour du vaccinodrome installé à Ko We Kara. L’attente était estimée à "3 heures en moyenne" par les organisateurs.
"Dès 6h30, on avait déjà 200 personnes qui attendaient pour recevoir une injection", indique Patricia Pedre, directrice adjointe de la Direction provinciale de l’action sanitaire et sociale (Dpass).
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