Le déploiement de moyens humains et matériels est massif et inédit.
L’État, en charge d’organiser la dernière consultation de l’accord de Nouméa, va mobiliser plus de 2 000 policiers, gendarmes et militaires pour sécuriser le scrutin du 12 décembre et s’assurer de sa sincérité.
Les forces de sécurité intérieures auront pour mission, notamment, de prévenir tout trouble à l’ordre public avant, pendant et après le vote.
La surveillance sera accrue sur le terrain mais aussi sur Internet puisqu’une unité de cyberdéfense va contrôler les possibles ingérences étrangères.