
"Nous continuerons à avoir recours à la diplomatie, à des mesures coordonnées avec nos alliés et partenaires régionaux, aux sanctions et aux restrictions de visa" pour que "les complices des actes non démocratiques du gouvernement Ortega-Murillo rendent des comptes", a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken dans un communiqué, sans plus de précisions.