A l'issue d'une réunion d'urgence à huis clos convoquée par l'Estonie, la France et l'Irlande, les six pays en question (avec les Etats-Unis, la Norvège et le Royaume-Uni) ont estimé dans leur déclaration que l'objectif du Belarus était aussi "de déstabiliser les pays voisins" et "de détourner l'attention de ses propres violations croissantes des droits humains".