
"Les condamnations à mort pour des crimes commis par des personnes âgées de moins de 18 ans sont contraires aux obligations internationales découlant du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et de la Convention relative aux droits de l'enfant, auxquels l'Iran a adhéré", a rappelé la porte-parole du chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.