"On a besoin d’accélérer, d’exporter nos services. On a une cible mondiale, on est ambitieux", affirme César Delisle, l’un des deux patrons de Testeum, entreprise qui met en relation les éditeurs d’applications pour smartphones avec un panel d’utilisateurs payés pour contrôler leur qualité. Officiellement créée en début d’année 2021, la société a été accompagnée par l’Adecal Technopole au cours des deux dernières années.
"Testeum, c’est le haut du panier", assure Christophe Carbou, directeur du pôle innovation du Technopole de la Nouvelle-Calédonie, qui se réjouit de cette initiative contribuant à la diversification de l’économie.
Pour atteindre un chiffre d’affaires d’un milliard de francs dans cinq ans, la société compte se développer en Australie, en Europe et en Amérique du Nord. Il lui faudra étoffer ses effectifs, qui pourraient atteindre 80 personnes en 2026, ce qui justifie une levée de fonds de 240 millions de francs via le dispositif de financement participatif créé l’an dernier [1]. L’investissement, sous forme d’actions, comporte un certain risque, qui s’accompagne de la promesse d’un "fort rendement".
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[1] https://www.lnc.nc/article/societe/economie/consommation/nouvelle-caledonie/le-financement-participatif-une-solution-pour-endiguer-la-fuite-des-capitaux
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