
Dans une déclaration transmise à l'AFP, la présidente du comité norvégien Berit Reiss-Andersen s'est dite "inquiète de ce que cet emprisonnement signifie pour l'avenir de la démocratie en Birmanie" et "inquiète du poids qu'une longue peine de prison pourrait coûter personnellement à Aung San Suu Kyi", lauréate du prix en 1991.