Dans une zone d’activité du Grand Nouméa, à l’abri des regards, se cache un trésor. 90 tonnes de "mobilier archéologique" minutieusement classées et conservées : des pierres, des ossements d’animaux disparus "témoins de la création de la Terre" jusqu’aux objets du bagne, en passant par d’innombrables vestiges de la culture lapita.
Bienvenue dans les réserves de l’Institut d’archéologie de la Nouvelle-Calédonie et du Pacifique (IANCP), qui a exceptionnellement ouvert ses portes, vendredi [1]. L’occasion de découvrir le travail de recherche et de valorisation d’une équipe de passionnés au service de la science et de l’histoire du pays. Encore trop méconnue.
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