
Paru à midi pour annoncer la reprise des Néobus, après le mouvement de protestation matinal du CSTNC devant le centre de maintenance et de remisage de Belle-Vie, où se trouve "l’ensemble de la flotte des véhicules circulant sur la ligne 1 – Néobus", la société Carsud précise par communiqué que "l’entrée du dépôt côtés Iekawé et Béchade étaient bloqués par des pneus brûlés et des véhicules stationnés aux abords de la route. […] Nos équipes sont dans l’incapacité d’opérer les 13 Néobus, prévus ce matin, pour répondre au besoin de transport des 5 000 usagers qui empruntent chaque jour la ligne 1, entre Moselle et Médipôle. Un huissier a également constaté ce matin le blocage en cours sur le dépôt."
Des propos réfutés par Albert Qala, secrétaire général adjoint de la CSTNC, majoritaire au GIE Karuïa. "Nous sommes arrivés à Belle-Vie à 3 heures du matin, nous avons mis des pneus autour du portail mais nous n’avons empêché personne d’entrer. Aucun salarié ne s’est présenté pour venir travailler, jusqu’à l’arrivée de plusieurs personnes de Carsud vers 8 heures, avec un huissier. Ils sont rentrés. Il n’y a pas eu de blocage."