
Invoquant dans un message sur Facebook "la fidélité aux valeurs de la droite républicaine", M. Sarkozy mentionne aussi "la valorisation du travail" par le président sortant et "son engagement européen clair et sans ambiguïté".
Avant le premier tour, il n’avait pas apporté son soutien à la candidate de droite Valérie Pécresse, qui n’a recueilli que 4,78 % des suffrages lors du premier tour dimanche.
Le président-candidat a engrangé un autre soutien de marque : l’appui de l’ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin, éjecté du premier tour de la présidentielle de 2002 par un certain… Jean-Marie Le Pen. Les centristes de l’UDI ont eux aussi signalé leur soutien à M. Macron pour le second tour.