6 796 amendements cosignés, 310 interventions, 65 propositions de lois cosignées, quatre rapports parlementaires. Philippe Dunoyer, député de la première circonscription de la Nouvelle-Calédonie, dresse le bilan de ses "cinq années de travail parlementaire" dans un communiqué. Une synthèse qui sera d'ailleurs envoyée à l'ensemble des habitants de la première circonscription dès jeudi. Et ce, "dans un souci de lisibilité et de transparence envers les Calédoniens", assure le député.

Au cours de sa mandature, le membre de Calédonie ensemble a participé à plusieurs travaux, notamment sur l’avenir institutionnel. "Tout au long de la législature, j’ai d’abord veillé à préserver le dossier calédonien des enjeux de politique nationale, défend Philippe Dunoyer. J’ai également veillé à chaque étape du processus à défendre les équilibres nécessaires au bon déroulement des consultations et à la préparation de l’après Accord de Nouméa.".

"Résultats concrets"

Le député met en avant des "résultats concrets" dans la "lutte contre la délinquance", la "réussite et l’insertion" de la jeunesse ou encore l’environnement. Il souligne sa contribution pour obtenir "le soutien financier de l’État à la Nouvelle-Calédonie face à la crise Covid".

Malgré la présentation de ce bilan, Philippe Dunoyer a botté en touche lorsqu'il s'agissait de répondre s'il sera ou non candidat aux législatives, préférant d'abord laisser passer le second tour des élections présidentielles, avant de se positionner. 

Pour rappel,  Virginie Ruffenach [1] et Thierry Santa [2], tous les deux membres du Rassemblement, ont déjà lancé leur campagne.