
Amnesty International a affirmé vendredi assumer pleinement de son rapport reprochant à l'armée ukrainienne de mettre en danger des civils dans sa résistance à l'invasion russe en installant des infrastructures militaires dans des zones habitées, violemment rejeté par Kiev.
"Nous maintenons pleinement nos conclusions", a déclaré la secrétaire générale de l'ONG, Agnès Callamard, à l'AFP par courrier électronique, soulignant qu'elles étaient "fondées sur des preuves obtenues lors d'investigations de grande ampleur" et déplorant la réaction des autorités ukrainiennes.