Le courrier est parti ce lundi vers le ministère chargé des Outre-Mer. Calédonie ensemble y formule une demande : que chaque groupe politique du Congrès puisse être entendu lors de rencontres bilatérales avec l’État, cette "séquence préalable à la réunion d’un éventuel “Comité des partenaires”". Le ministre Jean-François Carenco a accepté, la semaine passée durant une visite sur le territoire, le principe d’une réunion bilatérale à Paris avec le FLNKS sur les questions de compétences. Le parti Calédonie ensemble se félicite de ce retour au dialogue, toutefois "il est capital qu’avant de commencer la négociation, l’État n’entende pas qu’un seul son de cloche" explique Philippe Michel, dont le mouvement compte bien présenter à Paris ses propositions, le projet de l’après accord de Nouméa ou encore sa réflexion sur le droit à l’autodétermination.
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