
L’UC a réuni une trentaine de militants vendredi matin devant les grilles du haussariat pour demander de nouveau à l’État que "les discussions bilatérales se passent ici. On ne peut pas rester dans le silence alors que les loyalistes vont discuter en France de l’avenir de la Calédonie et nous, on est absents… Nous, on veut le destin commun, on a signé l’accord de Nouméa, un accord de paix, mais on veut voir comment avancer ensemble. On ne se sent pas considérés", estime Éric Ouaka, un des responsables du mouvement.