"L’accord de Nouméa est un processus de décolonisation irréversible", "l’accession du pays au statut d’État souverain doit se faire en 2025", "une Assemblée constituante devra être mise en place afin de rédiger la future Constitution", ou encore "le FLNKS restera l’unique interlocuteur de l’État français dans les discussions bilatérales pour mener à l’indépendance du pays"… Tels sont les messages, listés ce mercredi après-midi devant les médias, que les représentants de l’Union calédonienne porteront lors de la rencontre avec les ministres Darmanin et Carenco fin novembre, cet entretien "ne pouvant être assimilé, en aucune manière, au lancement des bilatérales sur la décolonisation de notre pays" a signalé le secrétaire général Pierre-Chanel Tutugoro. En clair, le parti trace son cap et pose son calendrier.
Plus d’informations à venir